Avant tout, la NWA octroie aux personnes de la gent féminine l'entière liberté quant à leur choix de cette intervention et n'interfère pas au niveau de leur conscience néanmoins, ce parti s'interroge. Avec tous les moyens contraceptifs disponibles à notre époque, à savoir, la pilule gratuite, la pilule du lendemain, le stérilet : pourquoi y a-t-il autant d'IVG pratiquées en Belgique ? Il faut savoir qu'entre 2006 et 2011 (dernier chiffre), il y a eu 1938 cas supplémentaires. Ce chiffre ressort du rapport de la commission d'évaluation avortement.
Ce qui est étonnant à notre regard, ce sont les pourcentages et les raisons. Si la pilule ne coûte rien à la collectivité, il en est tout autre concernant l'avortement. Au moment où ces lignes sont écrites, aucun chiffre relatif au montant officiel d'une IVG ne nous a été communiqué.
Les 42% des personnes de la gent féminine qui ont opté pour l'IVG ont reconnu de ne pas avoir utilisé un moyen de contraception. Certaines ont déclaré qu'elles l'avait utilisé de manière incorrecte ou inefficace.
Le choix de l'IVG reprend les raisons suivantes :
1. Pas de souhait d'enfant (18,36%).
2. Le trop jeune âge (11,07%).
3. Les problèmes financiers (8,32%).
4. Le statut d'étudiante (7,92%).
La NWA constate que malgré une campagne de sensibilité relative au port du préservatif (sida et MST), les cours d'éducation sexuelle l'IVG de "confort" est pratiquée trop souvent.
La NWA vous rappelle qu'elle laisse le libre arbitre aux personnes concernées dans le choix de leur décision et n'a nullement l'intention d'émettre un avis à leur sujet ni d'orienter leur vie future. Les cas autres que médicaux, judiciaires de travail doivent être couverts par la mutuelle. Les cas de "confort" doivent être à charge de la patiente avec participation obligatoire des remboursements et frais du géniteur pour la moitié. Il est impensable d'imputer tous les frais à la personne de la gent féminine (si le géniteur fait preuve de mauvaise foi, il est évident que tous les frais afférents aux examens de paternité soient à sa charge).
Bron: politics.be
Ce qui est étonnant à notre regard, ce sont les pourcentages et les raisons. Si la pilule ne coûte rien à la collectivité, il en est tout autre concernant l'avortement. Au moment où ces lignes sont écrites, aucun chiffre relatif au montant officiel d'une IVG ne nous a été communiqué.
Les 42% des personnes de la gent féminine qui ont opté pour l'IVG ont reconnu de ne pas avoir utilisé un moyen de contraception. Certaines ont déclaré qu'elles l'avait utilisé de manière incorrecte ou inefficace.
Le choix de l'IVG reprend les raisons suivantes :
1. Pas de souhait d'enfant (18,36%).
2. Le trop jeune âge (11,07%).
3. Les problèmes financiers (8,32%).
4. Le statut d'étudiante (7,92%).
La NWA constate que malgré une campagne de sensibilité relative au port du préservatif (sida et MST), les cours d'éducation sexuelle l'IVG de "confort" est pratiquée trop souvent.
La NWA vous rappelle qu'elle laisse le libre arbitre aux personnes concernées dans le choix de leur décision et n'a nullement l'intention d'émettre un avis à leur sujet ni d'orienter leur vie future. Les cas autres que médicaux, judiciaires de travail doivent être couverts par la mutuelle. Les cas de "confort" doivent être à charge de la patiente avec participation obligatoire des remboursements et frais du géniteur pour la moitié. Il est impensable d'imputer tous les frais à la personne de la gent féminine (si le géniteur fait preuve de mauvaise foi, il est évident que tous les frais afférents aux examens de paternité soient à sa charge).
Bron: politics.be